La perspective d'un retour au travail prochainement pour maman soulève désormais l'épineuse question du sevrage.
Après plusieurs tentatives infructueuses, généreusement ponctuées de hurlements, Adélie a consenti il y a quelques jours à boire un premier biberon. Joie des parents ravis, persuadés d'avoir vaincu les réticences du petit monstre sans trop de difficultés, pour une fois.
... la suite nous prouve une fois de plus qu'en dépit des déconvenues successives, les jeunes parents demeurent d'une admirable naïveté.
Car une fois remplacé le lait maternel par le lait artificiel, rejet catégorique du biberon, impossible de lui en faire avaler une goutte!
Mélange progressivement ? :)
RépondreSupprimerEst-ce que ça t'embête si je te relate notre expérience ?
RépondreSupprimerPour Milan il a fallu 4 heures pour le premier biberon. Maman était évidemment absente, sinon
elle aurait craquée bien avant et aurait offert le sein généreux à son petit ange hurlant. Mais bon, il a fini par avoir faim le petit loup et a pris quelques gorgées à contre coeur.
Encore deux bonnes heures le lendemain.
Ensuite, c'était bon ! Il y a de très bons laits infantiles (du moins à l'odeur, je ne me souviens pas avoir goûté...) légèrement parfumés à la vanille.
@Jeremy: c'est exactement ce que j'ai fait. Bon réflexe, petit frère!
RépondreSupprimer@Etienne: ça marche en mélangeant lait maternel et lait artificiel. Et c'est moi qui le donne. Maintenant, reste à diminuer progressivement la dose de lait maternel au profit du lait de substitution...